Phobie sociale, trouble d’anxiété sociale : guérir sans thérapie

Phobie sociale : guérir avec la méthode Quertant pour ne plus avoir peur des autres

La phobie sociale, ou « trouble d’anxiété sociale », concernerait entre 3 et 13 % de la population(1).

Comment la soigner durablement et ne plus avoir une peur viscérale des autres ? Comment faire cesser les palpitations et les tremblements à la moindre interaction sociale ? Comment réussir à nouveau à sortir de chez soi, à retrouver tout simplement la « légitimité d’exister » ?

Une méthode unique le permet aujourd’hui :  la rééducation nerveuse et sensorielle, ou méthode Quertant.  

La phobie sociale : un vrai trouble, un vrai handicap, une vraie douleur

La phobie sociale fait partie de la grande famille des troubles anxieux. Souvent présent dès l’adolescence, le trouble d’anxiété sociale évolue de façon tout à fait pernicieuse : il se fait passer pour de la timidité, certes un peu forte, mais « c’est seulement de la timidité » disent les proches.

Pourtant, la phobie sociale n’a rien à voir avec la timidité que tout le monde peut ressentir, de façon variable, dans une situation en public. Prendre la parole devant un auditoire, aller à une soirée où l’on ne connait personne, se rendre dans une administration pour faire une démarche, une personne timide peut y parvenir avec plus ou moins d’efforts. Une personne souffrant d’un trouble d’anxiété sociale, non. Et elle ne peut pas non plus aller acheter son pain sans trembler, ni monter dans un bus ou prendre le métro sans avoir l’impression d’une mort imminente.

À chaque interaction sociale, et à chaque anticipation de cette possible interaction, le phobique social vit un vrai calvaire. Son quotidien est très souvent une réelle torture.

En finir avec la phobie sociale sans thérapie, c’est possible

Face au trouble d’anxiété sociale, les réponses thérapeutiques sont souvent décevantes. Vous êtes sociophobe, vous avez le courage d’en parler à votre médecin (parce qu’en plus, le sentiment de honte n’est jamais bien loin…), et il vous conseille de manger mieux, de faire du sport, de faire du théâtre même ( ! ), d’adopter un chat et de faire, évidemment, une analyse. Il s’agit là, forcément, de conseils décevants du point de vue de la personne qui souffre.  

Dommage, car il existe pourtant une méthode différente qui a largement fait ses preuves. Une méthode qui ne demande pas 10 ans de thérapie et des efforts progressifs (mais toujours douloureux) de sociabilisation. Une méthode qui agit physiologiquement sur le cerveau puisque c’est de lui que toutes les phobies viennent. Parce que, bonne nouvelle : le cerveau peut se modifier et vous changer littéralement la vie !

Cerveau et peur panique : que se passe-t-il dans la tête en cas de phobie sociale ?

La peur (tout comme l’anxiété et le stress) est une réaction biologique. Cela signifie que la peur est une réponse évolutive ayant pour but d’anticiper un danger. L’idée fixe du cerveau : augmenter la probabilité de survie. Réponse à différents stimuli, une fois apprise, une peur conditionnée est stockée en mémoire de façon ultra persistante.

L’acquisition des peurs, et de là des phobies, des peurs inadaptées, a une origine cérébrale. Le cerveau a en effet la capacité de se modifier, de changer, en fonction des habitudes et des apprentissages au cours de la vie. Autrement dit : lorsqu’une peur ou une phobie s’installe, des changements moléculaires et structurels s’observent dans certaines régions du cerveau, en particulier l’amygdale et l’hippocampe. On parle de plasticité cérébrale pour définir ce phénomène.

Une étude notamment(2) a mis en évidence que les phobiques (dans cette étude, des phobiques des araignées) avaient une activation augmentée de l’amygdale, du cortex visuel d’association, de l’hippocampe droit et du cortex préfrontal dorsolatéral droit.

Formulé plus simplement : si la phobie est une peur inadaptée, c’est parce que le cerveau s’est déséquilibré dans ces réactions. Or, s’il s’est déséquilibré, c’est parce qu’il est « plastique ». Mais s’il est plastique, cela veut dire qu’il peut se réorganiser, se restructurer pour revenir à un état d’équilibre.

La méthode Quertant : la rééducation plutôt que la thérapie pour traiter les phobies, dont la phobie sociale

Unique dans le Vaucluse (84), le Centre Cohérence d’Entraigues-sur-la-Sorgue, à proximité d’Avignon, utilise des séries d’exercices visuels précis pour accéder à des régions du cerveau définies.

En effet, il existe un lien très étroit entre la qualité du fonctionnement du système nerveux central et celle de la vision. Les exercices vont ainsi permettre de retrouver un débit d’énergie nerveuse adapté.

De fait, tous les troubles fonctionnels d’origine nerveuse peuvent être traités et parfois totalement guéris avec la méthode Quertant, également appelée neuro-pédagogie : dépression, insomnie, troubles alimentaires, burn-out, anxiété, crises d’angoisse, TDAH, dyslexie et dyspraxie, bégaiement, phobie sociale, etc.

Vous habitez dans le Vaucluse et vous souffrez de phobie sociale ? Le Centre Cohérence vous accueille et vous accompagne dans une prise en charge globale et complète.

  1. Source : DSM-5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders – 5e édition)
  2. Étude Schienle et al. 2005

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