Vous ne supportez pas les portes fermées ? Vous avez l’impression d’étouffer dans les espaces clos ? Le simple fait de vous imaginer dans un ascenseur réveille en vous un sentiment d’angoisse ? Et que dire d’un avion, du métro ou d’une cabine d’IRM ?
Comme 4 % de la population, vous souffrez de claustrophobie, un trouble anxieux qui touche les adultes et les enfants, mais qu’il est possible de traiter avec une approche adaptée, notamment la méthode Quertant, ou rééducation nerveuse et sensorielle.
Explications.
Quelle est la définition de la claustrophobie ?
L’image qui vient en tête instantanément quand on parle de claustrophobie, c’est celle d’un ascenseur. En effet, les personnes claustrophobes ont une peur panique des lieux clos et de l’enfermement. Ce peut être un couloir étroit, une chambre, une voiture. Dès qu’elle a la sensation d’être enfermée, la personne claustrophobe voit son rythme cardiaque et sa respiration s’accélérer. Sa crise de panique lui donne l’impression d’étouffer.
Le claustrophobe, tout comme l’agoraphobe, a une peur irrationnelle de perdre le contrôle. D’ailleurs, il n’est pas rare que la claustrophobie soit également liée à une forme de phobie sociale. De fait, la qualité de vie est largement impactée. Les solutions d’évitement des situations anxiogènes empoisonnent et épuisent les claustrophobes, en plus de les isoler progressivement de plus en plus.
Pourquoi je suis claustrophobe ?
La claustrophobie peut avoir de multiples causes, et tous les claustrophobes ne sont pas devenus phobiques des espaces clos après avoir été séquestrés dans un placard. Autrement dit, un traumatisme n’est pas nécessairement à l’origine de la claustrophobie.
En réalité, la claustrophobie apparait dès lors que le cerveau associe une sensation corporelle désagréable (l’impression d’étouffer, par exemple) à une peur de mort imminente. Le cerveau va alors associer l’étouffement, le danger et le fait d’être enfermé(e). Il n’en faut pas plus pour créer un conditionnement, donc un blocage.
Les personnes anxieuses, hypersensibles, dépressives ou dans un état d’épuisement intense sont plus susceptibles de développer une claustrophobie dans un contexte de vulnérabilité.
J’ai une crise de claustrophobie : comment gérer ?
La relaxation est un pilier essentiel dans la gestion des crises phobiques. Comme pour une crise d’angoisse, la conscience de la respiration permet à la personne de reprendre le contrôle sur elle-même et les choses qui l’entourent.
Apprendre des techniques de relaxation et de visualisation auprès d’un sophrologue qualifié est très certainement aussi une bonne idée. Cela permet de se construire une sorte de « boîte à outils » de secours spéciale crise de claustrophobie.
La méthode Quertant : une technique unique pour soigner la claustrophobie définitivement
La méthode Quertant n’est pas une thérapie mais une technique pointue et parfaitement naturelle de rééquilibrage par la rééducation nerveuse et sensorielle. Rapide et surtout définitive dans la plupart des cas, elle permet d’accéder directement aux centres nerveux déréglés, eux-mêmes responsables de la claustrophobie.
Ainsi et à la différence des autres prises en charge classiques, la méthode Quertant traite le problème lui-même, le dysfonctionnement nerveux et non pas les symptômes du dysfonctionnement. C’est bien cela qui permet d’ailleurs d’expliquer les résultats en grande majorité définitifs. La claustrophobie disparaît totalement dès lors que l’équilibre nerveux naturel est retrouvé.
Si vous êtes dans le Vaucluse et que vous souffrez de claustrophobie, le Centre Cohérence d’Entraigues-sur-la-Sorgue vous accueille. La vision du Centre Cohérence, spécialiste de la méthode Quertant : une prise en charge globale, personnalisée et humaine.